Page:Hugo - L'Art d'être grand-père, 1877.djvu/226

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Que j’invite à me voir entrer tous tes valets,
Et que je mangerai ton fils dans ton palais.

La nuit passa, laissant les ruisseaux fuir sous l’herbe
Et la nuée errer au fond du ciel superbe.

Le lendemain on vit dans la ville ceci :

L’aurore ; le désert ; des gens criant merci,
Fuyant, faces d’effroi bien vite disparues ;
Et le vaste lion qui marchait dans les rues.

IV. L’AURORE