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La grande épée à mains brille au croc de la selle ; La hache est sur le dos, la dague est sous l’aisselle ; Les genouillères ont leur boutoir meurtrier ; Les mains pressent la bride, et les pieds l’étrier ; Ils sont prêts ; chaque heaume est masqué de son crible ; Tous se taisent ; pas un ne bouge ; c’est terrible.
Les chevaux monstrueux ont la corne au frontail. Si Satan est berger, c’est là son noir bétail.