Page:Hugo - La Fin de Satan, 1886.djvu/122

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L’un d’eux, vieillard, semblait près de cet homme naître ;
Et le plus jeune, enfant, avait l’air près de lui
D’un sombre aïeul pensif, gravement ébloui.
Humbles, ils lui tendaient leurs cœurs comme des urnes.
Et ces hommes, pareils à des lampes nocturnes
Adorant un soleil dans une vision,
Etaient devant ce maître en contemplation,
Et l’entouraient, ainsi qu’une auréole d’âmes.