Page:Hugo - La Légende des siècles, 2e série, édition Hetzel, 1877, tome 2.djvu/265

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L'heureux n'est pas le vrai, le droit n'est pas le nombre ;
Un vaincu toujours triste, un vainqueur toujours sombre,
Le sort n'a-t-il donc pas d'autre oscillation ?
Toujours la même roue et le même Ixion !
Qui que vous soyez, Dieu vers qui tout me ramène,
Si le faible souffrait en vain, si l'âme humaine