Page:Hugo - Le Roi s amuse.djvu/247

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1 .—-iv ... mwper · fama uga ‘d0¢it£numium www. ll pourrait . ` ponsser le detail de ees expllcations beauconp plus lotn , et examinemuie me aveeila critique toutes les pieces do lu eharpsente deson ouvrage ; mats il a plus de plalstr A remer- _ cierh ~crittque· qu’A lacontredire; et; apres tout, les ré— ‘ ponses qu’il pourralt fain aux objections de · la critique , il aime mlcux que le leeteur les trouve dans le dnme, sbelles _ ysongquedanslapréfaece. ;· 1 I _ ` · On lui pardonnerar de ne polntinstster oavantage sur le cole pnrement eswétique deson ouvrage. Il est tout un autre ordre d’ldées, non moins hautes selon l¤l,`qu’il voudraiv avoir tn lnistr cle remuer et Wapprotondir A 1’occasion‘de cette [iiéce de Borgiai-A ses yeux, il y nbeauooup de questions soclalesdans les questions littémires, `et toute ouvre estmne action. ~VoilA le sujet snr lequelil s’éteudi·alt· s volontieipsst Pespacehnt le temps ne lui manquaient. Le . théatreqrn ne saurait tmp-le répeter, a de nos jonrs une tm- `portmpee innuense, et-qui tend A s’acerottre sms eesse avec la civilisation untrue. _L€‘81éatI`€. est une trlbu¤eL··Le'théatre _ est une oluaire. Le theatre parletort et parte ham. Lmsque _ Comollle dit; Pour étro plus qu’un roi tu In crois quell gw cIwse,· cornellle, dest Mirabeau. Quand Shakespeare dit é Clb {job; mqsteepj Shakespe:{re,` c’est` Bossuet. L’auteur tele. ee.dra¤ne,sigtt emnbien vest une grande et sértouse chose que te théatre.·I1satt`que léldraine, sans sor-— ‘ tir des limites ingpartiales de'1’art, {une mission nationale, _ une mission soclale, une mission humaines Quan;1 il voit _ chaque sbir ce people sidnteiligent se si avanoé qui a fattde Paris la eité ¤¢¤t.rale*du prokres, s’éntassel‘ on foitle devaut I