ACTE I, TAKTIZ II: 67 crébe Borgia un soigdisaut contre—polsqn‘qui, en doin heures, délivra de lui son frére Bajazeta p . - 'Z · o ‘ JBRPO. ’ ` p ll parait que ee brave ture n’entendaitZ1*ien`a la politique. - _ _ . i
- V umm .
Oui,les Borgia ont des poisons qui ·tuent'en .ui1 jour,_en un mois, en_un an,_a leurigré. Ce sont d’inl3mes poisons qui rendent le vip mellleur, et font vicler lo ilacon avec plus de plaisir. Vous vous _croyez ivre, vous étes mort. .0u bien un homme -
tout a coup enlangueur, salpeau se vide,
n' ses yepx se cavent, ses cheveuiublanchissent, ses dents se brisent `comme verre 'sur le pain; il ne marche plus, il se u·a@; il`ne respire plus, il ` _ rele; il ue nit plus, il ne qort plus, il grelotte au soleil qi pleip midi; jeune homme, il a l’air d’uu viefllard; il agohise ainsi quelque temps, enfiu il S 1 meutjt. Il meurt; et alors on se souvient qu’il y a six mois ou unlah il a bu un verre de vin de Chy- pre chez un BorgiaZ Seretournimt. I A _ p —-Tenez, messeigneurs, voila justement M0nte— ' I U Dagmzsu by
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