Page:Hugo - Les Misérables Tome II (1890).djvu/415

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change sur la mort. On escompte en nuit terrestre la lumière céleste. Au cloître, l’enfer est accepté en avance d’hoirie sur le paradis.

La prise de voile ou de froc est un suicide payé d’éternité.

Il ne nous paraît pas qu’en un pareil sujet la moquerie soit de mise. Tout y est sérieux, le bien comme le mal.

L’homme juste fronce le sourcil, mais ne sourit jamais du mauvais sourire. Nous comprenons la colère, non la malignité.