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LETTRE XX


DE LORCH À BINGEN


La langue légale et la langue française. — Loi : Article unique : Qui parlera français paiera l’amende. — Théorie du voyage à pied. — Souvenirs. — Première aventure. — Note sur Claye. — Ce qui apparaît à l’auteur entre la quatrième et la cinquième ligne. — L’auteur voit des ours en plein midi. — Peinture gracieuse d’après nature. — L’auteur laisse entrevoir l’inexprimable plaisir que lui font les tragédies classiques. — Intéressant épisode de la mouche. — Incident. — Ce que signifie l’intervalle qui sépare les mots entendre passer des mots les sérénades. — Incident. — Incident. — Incident. — Incident. — Explication. — Cela n’empêche pas que l’auteur eût fort bien pu être accepté par ces saltimbanques à quatre pattes comme le dessert de leur déjeuner. — Deuxième aventure. — G. — Histoire naturelle chimérique d’Aristote et de Pline. — En quels lieux les hommes font volontiers leurs plus monstrueuses inepties. — Incident. — Un rébus d’Horace. — D’où venait le vacarme. — Portrait de deux hommes admirés. — Tableau de beaucoup d’hommes qui admirent. — L’homme chevelu parle. — G. tressaille. — L’auteur écrit ce que dit le charlatan. — Dialogue de celui qui est en haut avec celui qui est en bas. — L’auteur éclate de rire et indigne tous ceux qui l’entourent. — Puissance de ce qui est inintelligible sur ce qui est inintelligent. — Mot amer de G. sur la troisième classe de