Page:Hugo Rhin Hetzel tome 2.djvu/187

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
LETTRE XXVI


WORMS. — MANNHEIM


Nuit tombante. — Dissertation profonde et hautement philosophique sur les appellations sonores, — Le voyageur croit être un moment Micromégas se baissant et cherchant une ville à terre dans l’herbe. — A quoi bon avoir été une grande chose? — Les quatorze églises de Worms. — Le pauvre hère et le gros gaillard. — Dialogues. — Un monosyllabe accompagné de son commentaire. — Dans quel cas un aubergiste est majestueux. — O inégale nature ! — Le voyageur a peur des fées et des revenants. — Il prend le parti d’adresser de plates flatteries à la lune. — Un spectre. — A quel genre d’exercice se livrait ce spectre. — Autre monosyllable accompagné d’un autre commentaire. — Où le lecteur apprend dans quels endroits se mettent les vieux numéros d’un vieux journal. — Le spectre devient de plus en plus aimable et caressant. — Entrée à Worms. — Par malheur, le voyageur connaît si bien le Worms d’autrefois, qu’il ne reconnaît plus le Worms d’à présent. — Ce qu’on s’expose à voir quand on regarde par le trou des serrures. — Saint Ruprecht. — Mélancolie à propos d’un garçon tonnelier. — L’auberge du Faisan (qui est peut-être l’auberge du Cygne, à moins que ce ne soit l’auberge du Paon, Lecteur, défiez-vous de l’auteur sur ce point). — A quoi étaient occupés deux hommes dans la salle à manger, et ce que faisait un troisième. — Éloquence d’un sot. — Le voyageur continue de