La cathédrale. — La façade. — L’abside. — L’auteur s’exprime avec
une extrême réserve sur le compte de son éminence monseigneur
le cardinal de Rohan, évêque de Strasbourg. — Les vitraux. —
La chaire. — Les fonts baptismaux. — Deux tombeaux. — Quelques
âneries à propos d’un anglais. — Le bras gauche de la croix.
— Le bras droit. — Le suisse malvenu et malmené. — Le Munster.
— Qui l’auteur rencontre en y montant. — L’auteur sur le
Munster. — Strasbourg à vol d’oiseau. — Panorama. — Statues
des deux architectes du clocher de Strasbourg. — Saint-Thomas.
— Le tombeau du maréchal de Saxe. — Autres tombeaux. — Au-dessus
du prêtre, le curé; au-dessus du curé, l’évêque ; au-dessus
de l’évêque, le cardinal ; au-dessus du cardinal, le pape ; au-dessus
du pape, le sacristain. — Le gros bedeau joufflu offre à l’auteur
de le conduire dans une cachette. — Un comte de Nassau et une
comtesse de Nassau sous verre. — Quelle est la dernière humiliation
réservée à l’homme.
Septembre.
Hier j’ai visité l’église. Le Munster est véritablement une merveille. Les portails de l’église sont beaux, particulièrement le portail roman, il y a sur la façade de très superbes figures à cheval, la rosace est noble et bien coupée, toute la face de l’église est un poème savamment composé. Mais le véritable triomphe de cette cathédrale, c’est la flèche. C’est une vraie tiare de pierre avec sa