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SAINT-GERMAIN-L’AUXERROIS

Duc ; toutes citent à l’envi les œuvres de Maréchal de Metz, amusantes par leur vert pistache et leur rose turc, peu usités dans les arts du feu, mais peintes comme de la peinture ordinaire, avec des couleurs si peu adhérentes, si mal cuites qu’ils s’éraillent à fleur de vitre et laissent pénétrer, ainsi que de vulgaires carreaux, le jour. Ce sont des aquarelles diaphanes, des peintures vitrifiées, c’est tout ce que l’on voudra, sauf des vitraux.

Plus réelles, seraient les imitations de la sainte Chapelle œuvrées par Didron dans la chapelle du Tombeau ; celles-là on les adule aussi, mais personne ne parle de ce Thévenot qui a décoré les fenêtres des Chapelles des Saints-Patrons et de la Bonne-Mort.

Dans la première, le tableau du milieu qui a je l’ai dit, la forme d’un triptyque ouvert, les volets poussés sur leurs gonds en avant, com-