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Page:Icy - Brassée de faits, 1926.djvu/136

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BRASSÉE DE FAITS

Et pendant une heure, la femme délira d’âcre souffrance et de bonheur céleste, car toujours, toujours, à la souffrance se mêlaient les plus savantes pratiques voluptueuses, les plus subtiles caresses, les plus décisifs baisers…

Oh ! que j’aurais voulu être une de ces femmes qui suppliciaient celle-là, avant de l’élever avec elles en plein Paradis !… Car, moi, c’est ainsi que je conçois l’Amour, je ne puis même le concevoir autrement !