Aller au contenu

Page:Icy - Brassée de faits, 1926.djvu/185

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
177
LA COUSINE JANE

tu en aurais eu une bonne. Mais, demain, tu verras ça. Les voisins, je les connais, partent le matin, en bicyclette, tous les dimanches : nous serons tranquilles. Je pourrai te les claquer à mon aise, ma gosse, comme il faut qu’on les claque, les fesses de sa petite femme… Mais, oui, il n’y a pas d’amour sans fessée. Tiens, je te les claquerai comme cela, oui, comme cela, mais bien plus fort. On peut déjà tout de même un peu, j’ai écarté le lit du mur.

Et elle m’en donne un aperçu, sous les draps, une bonne fessée dont s’étouffent les claquements. Les draps, la couverture en amortissent l’éclat. Je serre les fesses. C’est délicieux. Tout à l’heure la surprise a fait, sans doute, que les cinglements de la verge m’ont paru difficiles à endurer. Mais il n’en est pas de même des claques. Je les aime, les claques, et plus elle claque fort plus je les veux de cette vigueur, de cette qualité. Il me semble que sa main qui me claque me communique sa passion et m’en enflamme, comme elle. Vous ne me croirez pas, eh bien, c’est ainsi et face à face que j’aime être bien fessée par quelqu’un que j’aime bien, femme ou homme. C’est à cause de cette fessée-là ! c’est en souvenir de cette fessée-là, la première qui m’ait révélé le charme tout-puissant de la fessée, quand c’est une fessée que je sens bien !

Et, pendant ce temps, elle m’embrasse, elle embrasse mes yeux, ma bouche. Sa langue viole encore ma bouche, ses lèvres mangent les miennes et sa main claque, claque mes fesses qui se serrent, heureuses, heureuses. Et je vibre, je vibre délicieusement, infiniment, et tout d’un