Page:Inconnu - Les cerises du franciscain, suivi de Le roi n'en mange pas de pareil, circa 1900.djvu/15

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regarder le cortège qui était fort brillant.

Le lendemain matin qui était le 25 décembre, Dick, en s’éveillant, s’écria : « Papa, maman ! écoutez, j’ai rêvé cette nuit que notre cerisier était couvert de cerises et à côté il y avait le bon saint François dont le Frère nous a conté l’histoire, qui me regardait et me souriait. Je vous prie, allez voir le cerisier. »

Les parents haussèrent les épaules, mais le petit malade insista tant et s’agita si fort, que pour le contenter, ils allèrent ouvrir la porte. Tous deux poussèrent un cri de surprise : au milieu des