Page:Jammes - Le Deuil des primevères, 1920.djvu/107

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La nuit fera le jour, si bien que réveillés
les coqs éclateront croyant l’aube venue.
Viens. Tu pénétreras dans la belle forêt
où dort dans la rosée la jeune fille nue.
Moi, priant et courbée, je te précéderai.