Clara d’Ellébeuse va dans sa chambre. Elle ouvre le cahier à la page où se trouve le poème de Roger. Là une pensée a séché. Vite, elle l’enlève. Mais la tige et le cœur de la fleur ont laissé, en s’y écrasant, une petite tache d’un vert jaune. Clara veut l’effacer, mais ne peut y réussir. Elle mouille son mouchoir et frotte la tache qui s’élargit. C’est comme les clefs de la femme de Barbe-Bleue. Elle redescend, et tend le cahier tout ouvert à Roger. Celui-ci sourit. On fait silence. Il lit :
à l’occasion de son mariage
Au moment que tu vas, sur une voile errante |