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Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/142

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quand, au milieu de la route, je rencontrai un voyageur qui marchait sur Paris, comme ferait une armée triomphante ; ce voyageur était un gai compagnon, un insouciant amateur de bon vin et de bonne chère ; on voyait qu’il marchait sans avoir de but, peu inquiet