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Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/267

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XXV.

LE DERNIER JOUR D’UN CONDAMNÉ.


Un léger coup sur l’épaule me tira de cette horrible contemplation ; je me retournai épouvanté, comme si je me fusse attendu à trouver derrière moi l’homme pour qui travaillait le charpentier, je ne vis que la figure douce, triste et compatissante de Sylvio. — Viens, mon ami, dis-je à Sylvio avec le sourire d’un insensé ; viens