On évita les sujets qui pouvaient paraître déplacés au roi :
1o Jeanne d’Arc : une alcoolique, elle se nourrissait de pain dans du vin !
2o Waterloo, toujours, à cause de Cambronne.
Il y a une petite histoire belge là-dessus, courante à Ixelles — et il y a des Belges au Jockey, comme il y a des Polonais, des Roumains et des Kurdes, c’est pourquoi nous ne saurions trop répéter que c’est un club bien parisien ; — il y a une petite histoire belge, donc, qui pourrait être utile au protocole :
L’aide-de-camp de Napoléon :
« ’Poléon !
— Quoi ?
— ’Poléon ! Les Russes sont là.
— Bon : prenez deux canons et f… les en bas.
— ’Poléon ! Les Prussiens sont là.
— Bon : prenez deux canons et f… les par terre.
— ’Poléon… (Le défilé des peuples est à tiroirs). ’Poléon ! les Belges sont là.
— Les Belges ! dit l’Empereur ; godferdoum ! nous sommes f…us. »
On comprend aisément que l’on construirait