« triumvirs » qui demandait que la volonté générale de la France fût toujours active et souveraine. C’était un des prétendus « désorganisateurs » qui voulait faire rentrer dans la loi les forces révolutionnaires débordées. C’était le fomentateur de pillage et d’anarchie qui demandait que toutes les propriétés, sans distinction, fussent respectées et protégées. Ici, Danton tient à se dégager personnellement, et à dégager la Révolution tout entière des propos de Momoro. Momoro était son ami : il avait signé, à côté de lui, la fameuse délibération de la section du théâtre Français ; et c’est certainement Danton qui l’avait compris sur la liste des émissaires du pouvoir exécutif.
Danton ne voulait pas d’équivoque, et il répudia formellement la loi