Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/126

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

concentration du pouvoir exécutif, 1126 ; son intervention contre la section Poissonnière, 1132 ; 1160, 1101 ; après la trahison de Dumouriez, il se jette à l’avant-garde du mouvement révolutionnaire, 1171 ; il soutient Danton à fond contre les Girondins, 1184 ; accusé par les Girondins, déféré au tribunal révolutionnaire, 1194 et sq ; acquitté ; son triomphe à la Convention, 1198 ; 1258 ; aimé par le peuple d’une affection plus profonde qu’Hébert, 1320 ; 1332 ; il donne comme mot d’ordre l’anéantissement des Douze, 1338 ; son discours du 27 mai contre la Gironde, 1344 ; il se rend à l’Évêché, d’instinct, le soir du 30 mai ; il songe de nouveau.à la dictature, 1428 ; ses impressions sur le 31 mai, 1430 ; entre Barère et les Enragés, vrai chef du peuple le juin, 1433 ; son attitude le 2 juin ; il parle en maître, 1442 ; son rôle le 2 juin, 1446 et sq ; comment il absout les Girondins de l’accusation de fédéralisme, 1452 ; 1547 ; 1607 ; ses attaques contre Roux, 1608 ; à bout de forces et d’ailleurs peu capable de mener la lutte contre Hébert, 1622 et sq ; sa mort, 1631 ; ce qu’eut été sa destinée, s’il n’avait pas été assassiné, I632 ; sa pensée reprise par Ronsin, 1760 ; 1767 ; il défend Babeuf, V, 12 ; transporté au Panthéon, 28 ; 42 ; exclu du Panthéon, 71.

Marat (Albertine). Sa lettre aux hébertistes, IV, 1766 ; V, 38.

Marbot. lieutenant, frère du général, VI, 156.

Marbot, général, VI, 166 ; proscrit en 1815, VII, 78.

Marc, vainqueur de la Bastille, I, 264.

Marc d’argent. Conditions posées par la Constituante pour l’éligibilité, 1, 388.

Marcé, général, recule devant les Vendéens, IV, 1222.

Marceau, général. En Vendée, IV, 1683 ; 1815 ; V, 47, 340.

Marcellus (de), député, VII, 96.

Marcère (de), XII, 195 ; ministre de l’Intérieur, 198 ; 202 ; 210 ; 211 ; 218 ; 224 ; sa retraite, 224.

Marchais. Son rôle en juillet 1830, VII, 244 et sq.

Marchais (Citoyenne), femme de la Commune, XI, 484.

Marchand, membre du Comité de salut public de Nantes, I, 416.

Marchand, ouvrier rémois, X, 98.

Marchand, commandant, sa mission, XII, 276 ; son retour à Paris, 278.

Marchandage, VIII, 362 ; le décret du 2 mars 1848, IX, 303.

Marché des Innocents (Section du), II, 1269 ; 111, 26.

Marchands de vin (garçons). Ordonnance d’avril 1804, VI, 550.

Marche, ouvrier de 1848, IX, 8.

Marchés (section des), IV, 1331 ; 1387.

Marchiennes (V.). Le Tiers-État demande la réforme de la jurisprudence sur les communaux, I, 206.

Marcou (avocat). Son rôle à Carcassonne en 1871, XI, 370 ; XII, 169 ; 169.

Maréchaux. Maréchaux-Ferrants, V, 260.

Marengo (V.). Bataille, V, 110.

Marescout, conseiller d’État, VI, 49.

Marestaing. Son rôle dans les tentatives de conciliation en 1871, XI, 412.

Maret, duc de Bassano ; . président du Conseil, VIII, 272 ; le ministère des trois jours, 273.

Margacot (Maurice), III, 204.

Margerin, Saint-Simonien, VIII, 188 ; 192.

Marianne (La). Société secrète, X, 100 ; 164.

Marihon, député à la Convention, IV, 1276.

Marie, député républicain en 1842, VIII, 432 ; 551 ; 556 ; son rôle dans les journées de février 1848, 567 et sq ; membre du gouvernement provisoire, IX, 2 ; 3 ; 7 ; 34 ; 35 ; 42 ; 48 ; 52 ; il veut se servir des ateliers nationaux pour diviser le prolétariat, 60 ; son rôle en juin 1848, 76 et sq ; sa palinodie sur la presse, 93 ; 102 ; m ; 116 ; 150 ; 168 ; 222 ; 259 ; 290 ; son rôle au Coup d’État, X, 12 ; 158 ; élu en 1863, 159 ; 210.

Marie-Amélie, femme de Louis-Philippe, VIII, 6 ; 46 ; février 1848, 570 et sq ; IX, 203.

Marie-Antoinette. Hésite en 1789 entre sa haine du comte d’Artois et sa haine du Peuple, I, 357 ; son état d’esprit en 1791, 658 ; la fuite à Varennes, 699 et sq ; une lettre à Fersen montre qu’elle ne se résigne pas et désire l’intervention de l’étranger, 746 ; II, 802 ; son extrême frayeur à la fin de 1791, 803 ; elle constate la lassitude de la Révolution à la fin de 1791, 826 ; ses relations avec Barnave et les Lameth en 1792. 827 et sq ; elle espère en la Législative, 831 ; elle pousse à l’acceptation de la guerre ; la guerre va devenir la politique de la cour, 875 ; elle a recours à Lameth, Barnave, Duport, pour tenter de limiter la guerre, 899 ; ils l’aident à rédiger le Mémoire à l’Empereur, 898 ; elle le recopie machinalement, sans foi, 900 ; décidée à la guerre, en février 92, 918 ; mission de Simolin à Vienne, 919 ; sa trahison flagrante au moment même de la guerre, 956, 957 ; elle continue en juin 1792 sa correspondance avec l’étranger, 1186 ;