Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/177

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décret de mars 1852, 67 et sq ; faveurs et surveillance, 68, cf. Syndicats.

Secours publics. Décrétés par la Convention, IV, 1497 ; leur réduction en 1795, V, 97.

Secrétairerie d’État. Création du premier Empire, VI, 201.

Secretand, tailleur, X, 223.

Sécrétariat international socialiste. Son établissement en 1900, XII, 305.

Sections (de Paris), 1, 434 ; leur rôle en 1793, IV, 1000 et sq ; elles deviennent le centre du combat entre Montagnards et Girondins, 1218 ; leurs groupements pour assurer des majorités révolutionnaires, 1231 et sq ; développement de leurs comités de surveillance, 1235 ; leur rôle en mai 1793, 1235 ; comment elles tournent et bravent l’arrêté de la Convention qui veut réglementer leur action. 1335 et sq ; elles sont reconquises entièrement par les sans-culottes, 1341 ; elles délibèrent à l’Évèché le 29 mai au soir, 1364 et sq ; leur épuration en 1795, V, 97 ; leur transformation après les événements de prairial, 138.

Sécurité et protection des travailleurs. La question en 1848, IX, 299.

Sedan (V.), II, 1034 ; VI, 5i6 ; VIII, 67 ; 70 ; sa situation industrielle sous la République de 1848, IX, 328, 334 ; la capitulation, XI, 10.

Sédillez. Nommé tribun, VI, 51, 60.

Seeley, VI, 313.

Seignobos, VIII, 105 ; 108.

Segris, XI, 210.

Séguier. Sa requête au Parlement en 1776 contre la brochure de Boncerf, II, 1090 ; son écrit La Constitution renversée, en 1792, 1090 ; ses flagorneries à Napoléon en 1807, VI, 441 ; 457.

Seguin, financier de l’époque du Consulat, VI, 3 et sq.

Séguin (Armand), V, 239.

Ségur (de). Proposé comme ministre des Affaires étrangères, II, 834.

Sègue d’Aguesseau, X, 139, 143.

Seine (Monsieur de), conduit le bataillon de Belleville le 5 octobre 1789, I, 340.

Seine (dép.), ancien département de Paris, calcul du nombre des électeurs en 1795, I V, 168 ; organisation de l’enseignement primaire de 1794 à 1800, 188.

Seine-Inférieure (dép.). Ses élus à la Convention, III, m ; IV, 1268 ; VIII, 262.

Seine-et-Marne (dép.). Troubles ruraux en 1791, II, 764 ; mouvement paysan au printemps de 1792, dirigé surtout contre les gros fermiers, 1069 et sq.

Seine-et-Oise (dép.) Vente des biens nationaux, I, 491 ; 492 ; mouvement paysan au printemps de 1792, dirigé surtout contre les gros fermiers, II, 1069 et sq ; sa délégation sur la question des subsistances. 316 ; IV, 1772 ; organisation de l’enseignement secondaire de 1794 à 1800, 198 ; sa situation industrielle en 1811, VI, 522 ; VIII, 244.

Sel (impôts sur le), IX, 376.

Sélim III, sultan de Turquie, V, 128.

Seltz. (V.). Conférences, V, 435 et sq ; 495.

Sembat. Son intervention en 1900 dans la discussion du budget de la guerre, XII, 284 ; 289 ; 299 ; son discours sur l’expédition de Chine, 302.

Séminaires. Leur régime d’après le Concordat, VI, 90 ; le projet Villemain sur les petits séminaires, VIII, 499 ; ses dispositions, 502.

Sémonville (Huguet de). Élu représentant de la Commune de Paris, le 1er août 1789.

Senard, IX, 49, 50, 64, 73, 80, 81, président de la Constituante en juin 1848 ; son projet sur les déportations, 87 ; ministre de l’Intérieur de Cavaignac, 90 ; 91 ; 124 ; 147 ; 150 ; 222 ; sa proposition de limiter la journée de travail à 12 heures, 295 ; 315.

Sénart, XII, 220.

Sénat. Sénat conservateur, ses attributions dans le projet de Constitution de l’An VIII, VI, 30 ; dans la Constitution même, 39 ; comment le premier Consul le compose ; les compétitions, 50 ; impuissance de son opposition, t6o ; 167 ; sa situation dans la Constitution de l’An x, 171 ; sa servilité, 366 ; son rôle en 1814, VII, 18 ; comment il ménage sa situation en 1814, 26 ; droits nouveaux que lui accordent les décrets de novembre 1860, X, 129 ; la réforme de 1870. 384 ; la question de son institution en 1875, XII, 154 et sq ; la position des partis, 155 ; son organisation d’après le projet Wallon, 168 ; vote du projet, 169 ; la loi est adoptée, 177 ; sa formation, 178 ; 186 ; il devient le point d’appui de Mac-Mahon, 198 ; il vote la dissolution de la Chambre en 1877, 203 ; les élections de 1879, 220 ; la réforme de 1884, 242.

Sénatoreries. Leur établissement en 1804, VI, 183 et sq ; elles constituent une aristocratie territoriale, 446 ; chargent qu’elles imposent, 447 ; l’exemple de la sénatorerie de Nancy montre l’étendue de ces fiefs, 448.

Sénéchaut. Ami de Berton, condamné à mort, VII, 178 ; grâcié, 178.

Sénégambie, V, 174.