Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/192

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D’où vient le mot et ce qu’il faut penser de la chose, V, 209.

Vandamme, proscrit eu 1815, VII, 75.

Vandervelde, IV, 1511 ; XII, 306.

Vanderbergh, financier, VI, 4 ; fournisseur de l’armée sous l’Empire, 249 et sq.

Vaudessel, industriel, ses plaintes en 1811, VI, 529.

Vaneck, orateur de la section de la Cité, V, 87 ; babouviste, 309 ; son rôle dans le mouvement jacobin de 1799, 544.

Vanhamm, mécanicien, X, 212 ; un des Soixante, 225.

Van Rohais. Sa manufacture d’Abbeville, I, 68.

Vanves (V.), X, 295 ; XI. 394 ; 424 ; 425 ; l’abandon du fort par Mégy, 427 ; 434.

Var (Dép.). Comment il accueille le Coup d’État, X, 19 ; la répression, 26.

Varennes (V.). La fuite royale, I, 699 et sq ; 711 ; décrite par Hébert, II, 1055.

Varin, procureur syndic de Montdidier, V, 19.

Varin, rédacteur à l’Atelier, VIII, 368.

Varin (le père), jésuite, VI, 376.

Varlet. Son rôle le 20 juin 1792, II, 1207 ; son passé, son rôle en février 1793, IV, 1025 et sq ; sa conception de la propriété, 1026 ; 1091 ; son action, le 10 mars 1793, 1131 et sq ; 1232 ; membre du club de l’Évêché, 1257 ; 1264 ; 1300 ; arrêté, 1316 ; cela cause peu d’émoi, 1323 ; 1382 ; 1388 ; 1390 ; 1399 ; 1676 ; membre du club électoral après le 9 thermidor, emprisonné, V, 28, 30, 31.

Varlin, membre de l’Internationale dès le début, X, 2g5 ; 296 ; 298 ; 299 ; 302 ; 305 ; son rôle à la Commission ouvrière de 1867-68, 311 ; membre de la deuxième Commission de l’Internationale, 319 ; dans les réunions publiques, 328 ; 332 ; 335 ; 336 ; son caractère, son œuvre dans la reconstitution de l’Internationale en 1868, 338 ; 340 ; partisan des candidatures ouvrières en 1869, 343 ; 346 ; 348 ; son opinion sur les grèves, 350 ; 351 ; 352 ; délégué à Bâle, 353 ; 354 ; ses relations avec les bakouninistes, 355 ; ses lettres sur les élections de novembre 1869, 362 ; 363 ; les difficultés des grèves en 1869, 364 ; sa conception sur le mouvement économique et le mouvement politique, 366 et sq ; ses lettres sur la fondation de la Marseillaise, 371 ; ses lettres sur les funérailles de Victor Noir, 376 ; 377 ; 379 ; 382 ; 383 ; 384 ; le troisième procès de l’Internationale, 390 ; XI, 274 ; 281 ; 287 ; 288 ; la démarche à la Banque, 200 ; 297 ; élu à la Commune, 308 ; 330 ; 338 ; son rôle aux finances, 379 ; 386 ; 396 ; 401 ; 430 ; il fait partie de la minorité de la Commune, 431 ; 436 ; 439 ; pendant la semaine sanglante, 456 ; 463 ; 466 ; sa mort, 475.

Varnhagen von Else, VIII, 396.

Varsovie (V.), V, 115 ; le grand-duché créé en 1807, VI, 224 ; pris par les Russes en 183t, VIII, i38.

Vasson, II, 1205.

Vast, VI, 431.

Vatimesnil (de), VII, 136 ; ministre de l’Instruction publique, 224 ; IX, 183, 202.

Vauban, VIII, 58.

Vauberet, membre de la municipalité de Lyon en 1789 ; I, 420.

Vaublanc, royaliste, V, 355 ; ministre de l’Intérieur en 1815, VII, 80 ; 105 ; 107.

Vaubois. Son rôle à Malte, VI, 116.

Vaucanson ; V, 249 ; VI, 516.

Vaucluse (Dép.). Comment il accueille le coup d’État, X, 12.

Vaudet, membre du Comité de Salut public de Nantes, I, 416.

Vaudreuil (M. de). Son opinion puérile sur la politique de Joseph II, I, 354.

Vaudrey, colonel, complice de Louis-Napoléon à Strasbourg, VIII, 295.

Vaugeois, membre du Directoire secret des fédérés de 1792, II, 1264.

Vaugiraud, chef vendéen, IV, 1145.

Vaulabelle (Achille de), IX, 102, 176.

Vauquelin. Son cours annoncé dans le dernier numéro du Patriote, IV, 1439 ; V, 201 ; ses travaux, 215 ; VI, 512 ; 514.

Vautié (colonel de). Préside à la répression de la conspiration de Didier, VII, 110.

Vautrain, XI, 297 ; maire du IVe, 305 ; XII, 55 ; 166.

Vauvilliers (de la Marinière). Elu représentant de la Commune de Paris, le 1er août 1789, I, 3to ; 431.

Vaux (Clotilde de), IX, 231.

Vaysset, espion, XI, 436 ; 443.

Veber (Adrien), VI, 9.

Védrine (abbé). Ses attaques contre l’Université, VIII, 497.

Velrieu, député à la Législative, II, 848.

Veuard (Georges), habitant du district d’ÉEampes, IV, 1647.

Vence, élu par Marseille pour la Convention de Bourges, IV, 1634.

Vendée (province et département). Le mouvement vendéen, incertain et obscur encore, commence en 1789, I, 355 ; la