Page:Jean Darche, Le saint abbé Bourdoise, vol. 1, 1883.pdf/133

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les fruits immenses que le zèle et les travaux du saint et immortel Bourdoise ont procurés à la sainte Eglise de Dieu, et combien de milliers d’âmes devront, aux efforts héroïques de son zèle, leur salut éternel.

Mon Dieu, quand je pense à la belle couronne qui ceint le front de votre bien-aimé Bourdoise, dans votre Paradis, quand je pense à la grâce que vous m’avez faite, de résumer l’Histoire d’un Apôtre du Clergé, si dévoré de zèle pour vos intérêts, je suis poussé à me jeter à genoux et à vous crier, du fond de mon cœur : « Mon Seigneur et mon Dieu, en considération des mérites de votre saint serviteur Bourdoise et de l’affection que vous lui témoignez, faites miséricorde à ce pécheur qui a bien osé, dans son incapacité et sa grande témérité, écrire d’un si saint Homme, dont l’intérieur est si admirablement divin, à vos yeux et à ceux de vos beaux Anges ! »



Fin de l’introduction.