Page:Joseph Rosny - Firmin ou le Jouet de la fortune, 1798, I.djvu/170

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condité ne pouvait encore suffire à mes besoins ; l’état d’un gagne-petit était plus lucratif que le mien ; je sentis d’ailleurs que j’allais me dégrader entièrement, et me perdre pour jamais de réputation. Je rougis de l’état d’avilissement dans lequel je réduisais les lettres, et je m’apperçus qu’il était temps de me frayer un nouveau chemin à la fortune.


Fin de la première partie.