Page:Joseph Rosny - Firmin ou le Jouet de la fortune, 1798, II.djvu/116

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CHAPITRE VIII.

Madame Bellegarde me raconte ses aventures.



On doit bien présumer que le lendemain je ne manquai pas de me rendre chez madame Bellegarde. Quoiqu’elle eût mérité toute mon indignation, je crus devoir la ménager ; elle pouvait m’être d’une grande utilité, et elle était à même de me donner des renseignemens qui devaient nécessairement m’intéresser ; d’ailleurs, j’étais curieux de savoir par quel hasard elle était devenue l’épouse de Britannicus,