Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 1.djvu/201

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

dont l’image se réfléchissait dans le miroir de l’étang. « Mon fils, lui dit-il, c’est évidemment un oiseau qui ayant dans son bec un morceau d’or, l’a posé en volant sur cet arbre. »

Sur-le-champ, obéissant au conseil de son père, il monta sur l’arbre et trouva le morceau d’or.

(Extrait du livre intitulé : Pe-yu-king, ou le Livre des cent comparaisons, partie II.)