Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 2.djvu/79

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Cet âne s’introduisit, en conséquence, au milieu d’un troupeau de bœufs. Avec ses pieds de devant il fit voler de la terre et incommoda ces bœufs. Il voulut ensuite imiter leur meuglement, mais il ne put changer sa voix. Les bœufs le tuèrent à coups de cornes, et le laissèrent sur la place.

(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fo-choue-kiun-nieou-pi-king.)