vicomte Louis de Sartiges et Paul Cosson, qui butinaient chez les marchands et dans les ventes au gré d’une fantaisie et d’un goût toujours en éveil ; Marcel Guérin, dont les poteries rivalisaient avec les flambés de Chaplet qu’il avait réunis. Puis c’était le groupe des amateurs de gardes de sabre, Henri Hirsch, dans le cabinet de qui elles alternaient avec les vases de Gallé ; Mourier, que ses graves fonctions de directeur de l’Assistance Publique n’absorbaient pas tout entier ; Marcel Guérin, déjà nommé ; le marquis de Tressan, mort plus tard pour la France et qui, seul d’entre nous, comme récemment François Poncetton, alliait une sérieuse érudition à la passion du collectionneur.
N’oublions ni Georges Clemenceau, qui, à l’exemple de son ami Claude Monet, fut un des japonisants de la première heure ; ni J. Reubell, prodigieusement divers dans ses