tionneurs : il avait au reste d’autres occasions de se réchauffer. En 1900, au cours du solennel dîner offert par Hayashi à l’occasion de l’inauguration du pavillon japonais, la fondation avait été décidée d’une Société Franco-Japonaise, dont la présidence fut offerte à M. Bertin, ingénieur de la Marine, qui avait joué un rôle prépondérant dans la construction de la flotte du Japon ; on se retrouvait avec plaisir à ses séances, les amateurs s’y mêlant familièrement aux fonctionnaires du gouvernement impérial, tel M. Appert, ou aux savants comme M. Guimet. Tous les mois, le « dîner japonais » d’autrefois continuait à réunir ses anciens convives à qui d’autres s’étaient joints, Groult notamment, le célèbre collectionneur, qui animait ces agapes de sa verve et parfois nous emmenait prendre le café dans son hôtel de l’Avenue du Bois, parmi les chefs-d’œuvre de la peinture
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