porcelaines notamment, tel Héliot, mais je ne cite que ceux avec qui je me suis trouvé en relations et ne saurais prétendre à faire une statistique de la curiosité. « Ils sont trop », aujourd’hui que la mode s’est mise à travailler pour eux.
En effet, la vague chinoise ne tarda pas à être aussi forte à Paris que l’avait été la vague japonaise. Sans doute tous les amateurs d’autrefois ne se laissèrent pas séduire et l’un des plus illustres, Vever, se refusa, où à peu près, à introduire dans son atelier la Chine à côté du Japon, de l’Orient et du XVIIIe siècle ; Mutiaux demeura fidèle, lui aussi, à ses affections ; ce fin connaisseur du grec et du japonais ne fit aucun effort pour comprendre la grandeur austère des vieux chinois, et tout naturellement U. Odin, qui avait passé les plus belles années de sa vie à rechercher à Kioto des peintures japonaises, conti-