nos musées, le Louvre surtout, à qui il vient constamment en aide et à qui, ce n’est pas une indiscrétion que de le révéler, il réserve la dîme de ses trésors.
La plupart de ces collections, si unes dans leur diversité, se sont trouvées réunies quelques semaines rue de la Ville-l’Évêque en mai 1925 ; ainsi que nous avions fait naguère au Pavillon de Marsan la revue de l’art japonais, M. Vignier prétendit passer l’inspection des collections chinoises, et le public sut leur rendre justice. Mais les deux expositions différèrent en un point : celles du Musée des Arts Décoratifs avaient été strictement parisiennes ; l’étranger apporta au contraire un large concours à la seconde de ces manifestations. Le japonisme, en effet, né à Paris, s’y était développé, et les étrangers n’avaient fait à peu près que suivre le mouvement ; ç’avait été un produit essentiellement