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(170) V. Niemcew., VI, 248. — Dans les réponses des Ambassadeurs de Sigismond, il est nommément question de deux Moines qui furent les serviteurs zélés de Dmitri. — Sur Léonide, V. plus haut dans les notes.

(171) V. Affaires de Pologne, no. 26, f. 74.

(172) Bär dit que Godounoff ayant reçu de tous côtés des nouvelles du faux Dmitri, commença à douter si le vrai Dmitri avait été tué ou non. Il fit des recherches très-sérieuses et se convainquit à la fin que c’était réellement un Imposteur. Boris avait alors à son service quantité d’espions parmi les habitans de la petite Russie. On trouve dans les archives une lettre de remercîmens d’un bourgeois de ce pays, pour avoir obtenu une récompense pour des nouvelles sur l’Imposteur.

(173) V. Déclarations du. traître Kroustchoff dans la collection des actes de l’Empire, II, 178.

(174) V. Déclarations de Kroustchoff dans la collection des actes de l’Empire, II, 174.

(175) V. Affaires de Pologne, no. 26, f. 63 et 139.

(176) Des supplices eurent lieu, mais plus tard ; V. les Chronographes.

(177) V. Affaires de Pologne, no. 26, f. 64, 73 et 77. — Il est bien douteux que Boris eut écrit à Sigismond par Ogareff, comme le disent les Ambassadeurs Lithuaniens, dans leurs réponses aux Boyards de Moscou ; que, si même l’Imposteur était réellement le fils d’Ivan, il n’aurait pas plus de droits sur la couronne, étant un fils illégitime de la sixième ou septième épouse.

(178) V. Naruszewicz, liv. IV, note 28.