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(278) V. Pétréjus, 370. — Les Chronographes et la Légende, où il est également dit que le Faux Dmitri n’a jamais voulu visiter le couvent de Tchoudoff, de crainte que les religieux ne le reconnussent.

(279) V. Récit de se qui se passa à Moscou, etc. — Annales de Rostof. — Nikon. — Les Chronographes et Bär.

(280) Non pas le 25 juin, comme il est dit dans les Chronographies, ni même le 10 juillet, comme dans l’Histoire de De Thou ; car les embûches de Schouisky ne se découvrirent qu’après le couronnement de l’Imposteur. V. Margeret.

(281) V.. Récit de ce qui se passa à Moscou, etc. — Bär et Pétréjus. — Margeret, 127. — La Légende, 6. — Annales de Nikon, 72. — Palitzin, 21. Le prince Alexandre Schouisky, mourut en 1601.

(282) V. Palitzin, 21. — Dans la Légende, p. 25, il est dit, que le faux Dmitri étant né à Galitchc, il y avait fait emprisonner sa mère avec son second mari et jusqu’à soixante de ses parens. — Remarquons ici un manque d’accord : Palitzin parle du témoignage de la mère, du frère et de l’oncle de l’Imposteur, du supplice de Fédor Kalachnik et de Tourguenieff ; et plus tard, de l’exil de Schouisky. — Le Livre des Degrés de Latoukhin, et la Chronique de Morosoff le confirment, et le premier ajoute, que dès le premier jour de son avénement au trône, le faux Dmitri commença à être démasqué par ses parens ; mais d’autres disent : (V. les Annales de Rostoff et de Nikon, 72.) que le prince Vassili Schouisky fut