fut. | futunien |
idiom. | idiomatique |
inter. | interrogatif |
interj. | interjection |
lat. | latin |
mod. | moderne |
n.p. | nom propre |
num. | numéral |
part. | particule |
pers. | personne |
poss. | possesif |
prép. | préposition |
pron. | pronom |
plur. | pluriel |
qc. | quelque chose |
qn. | quelqu'un |
resp. | terme respectueux |
s. | substantif |
sing. | singulier |
tong. | tongien |
v. intr. | verbe intransitif |
v. stat. | verbe statif |
v. tr. | verbe transitif |
v. tr. ind. | Verbe transitif marquant l'objet par ki/i |
* | mot plus usité |
Les langues polynésiennes sont morphologiquement parlant des langues isolantes. Par opposition avec le français et les autres langues indo-européennes, les substantifs et les verbes ne sont pas déclinés ou conjugués. Cela signifie qu'on ne peut pas se baser sur la morphologie du mot pour différencier un substantif d'un verbe ou d'un adjectif, tandis qu'on peut le faire en français par exemple où un mot se terminant par -ion est automatiquement perçu comme étant un substantif. En wallisien, un mot tel que lele en tant que substantif est utilisé avec l'article te et signifie « la course ». Mais il peut aussi fonctionner comme un verbe s'il est utilisé avec un marqueur de temps comme 'e, ne'e, kua ; « kua lele » signifie alors « il/elle courut ».