Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 1 - 1808.pdf/73

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 49 )

triste Caroline, et vous savez si elle n’est pas condamnée à des regrets éternels, et au désespoir d’avoir été la cause innocente de la mort du meilleur des hommes, Mais, répondit mistriss Belmour, par quels hommes avez-vous été attaqués ? combien étaient-ils ? étaient-ce des brigands ou des soldats ? — Ils étaient trois, enveloppés de manteaux, la tête couverte de grands chapeaux, bizarrement ornés de plumes ; ils feignirent de passer auprès de nous, mais ils nous enveloppèrent, et commencèrent par blesser le cheval de M.