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bas : « Milady, vous embarrassez trop vos esprits sur un événement de médiocre importance. La cause que je défends, ajouta-t-il d’un ton plus élevé, est celle de Dieu, et elle doit nécessairement prospérer. Oh ! que tous ceux qui vivent étant dans la même persuasion, voulussent ceindre les reins de leur esprit, et s’efforcer en toutes choses de marcher dignes du Seigneur ! Voilà les vœux que je répète en cette occasion. » Les assistants se rappelèrent que ces phrases extraordinaires étaient insérées dans une lettre qu’il venait d’écrire au parlement. Ade-