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demeure d’un ami des arts ; ici je dois trouver des sentiments généreux ; je suis en sûreté. » Deux petites chambres à coucher suivaient ce salon, tout y respirait la plus élégante simplicité. Ces pièces composaient toute la maison ; une porte du salon ouvrait sur un jardin, mais elle était fermée, et Caroline n’osa l’ouvrir. Elle aperçut seulement, des fenêtres, des fleurs d’automne qui se balançaient mollement sur leurs tiges, agitées par un vent léger. Elle retourne au vestibule, monte un escalier qui le termine, et se