Cette page a été validée par deux contributeurs.
balançait le cou comme une poule égarée. Heureusement, j’entendais assez le langage des bêtes — non pas des bêtes sauvages, mais celui des bêtes de camp, naturellement — que m’avaient appris des indigènes, pour savoir
ce qu’il disait. Ce devait être le même qui s’était étalé dans ma tente, car il interpella le mulet :
— Que faire ? Où aller ? Je me suis battu avec une chose blanche qui flottait, et elle a pris un bâton et m’a frappé au cou.
C’était le mât brisé de ma tente, et cela me fit plaisir.
— Continuons-nous à courir ?