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Chap. CCXCVI. De la fenêtre par où vient le jour sur la figure.
Chap. CCXCVII. Pourquoi après avoir mesuré un visage et l’avoir point de la grandeur même de sa mesure, il paroît plus grand que le naturel.
Chap. CCXCVIII. Si la superficie de tout corps opaque participe à la couleur de son objet.
Chap. CCXCIX. Du mouvement des animaux et de leur course.
Chap. CCC. Faire qu’une figure paroisse avoir quarante brasses de haut dans un espace de vingt brasses, et qu’elle ait ses membres proportionnés et se tienne droite.
Chap. CCCI. Dessiner sur un mur de douze brasses une figure qui paroisse avoir vingt-quatre brasses de hauteur.
Chap. CCCII. Avertissement touchant les lumières et les ombres.
Chap. CCCIII. Comment il faut répandre sur les corps la lumière universelle de l’air.
Chap. CCCIV. De la convenance du fond des tableaux avec les figures peintes dessus, et premièrement des superficies plates d’une couleur uniforme.
Chap. CCCV. De la différence qu’il y a par rapport à la peinture entre une superficie et un corps solide.
Chap. CCCVI. En peinture la première chose qui commence à disparoître est la partie du corps laquelle a moins de densité.
Chap. CCCVII. D’où vient qu’une même campagne paroît quelquefois plus grande ou plus petite qu’elle n’est en effet.