Page:L’Église arménienne orientale, trad. Dulaurier, 1859.djvu/123

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Avec le diacre alternativement :

Jugez-moi, Seigneur, et faites-moi justice dans ma cause ; sauvez-moi d’un peuple impie et de l’homme inique et trompeur.

Vous êtes ma force, ô mon Dieu ! Pourquoi m’avez-vous repoussé ? Pourquoi me laissez-vous marcher dans la tristesse, sous l’oppression de mon ennemi ?

Envoyez-moi votre lumière et votre vérité ; elles me guideront et me conduiront jusqu’à votre montagne sainte, dans vos tabernacles.

Je m’approcherai de l’autel de Dieu, du Dieu qui remplit de joie ma jeunesse ; je te confesserai avec bénédiction, ô Dieu, mon Dieu.

Pourquoi te troubler, ô mon âme ? Pourquoi gémir en moi ? Espère dans le Seigneur, je veux le louer encore. Le salut vient de son regard, il est mon Dieu.

Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit.

Le diacre. Maintenant et à jamais, dans les siècles des siècles. Amen.

Prions encore en paix le Seigneur, et bénissons le tout-puissant Créateur, Dieu et Père de Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui nous a rendus dignes d’avoir accès dans ce lieu de louanges, et d’y chanter des cantiques spirituels. Seigneur tout-puissant, notre Dieu, sauvez-nous et ayez pitié de nous.

Le prêtre. Dans ce tabernacle de sainteté, et