Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/148

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pendant que la reine continuoit de parler, ſi occupée de ce qu’elle diſçait qu’elle ne prenoit pas garde à cet embarras. Lorſque madame de Clèves fut un peu remiſe : — Cette hiſtoire ne me paraît guère vraiſemblable, Madame, répondit-elle, & je voudrais bien ſavoir qui vous l’a contée.

— C’eſt madame de Martigues, répliqua madame la dauphine, qui l’a appriſe du vidame de Chartres. Vous ſavez qu’il en eſt