Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/27

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du pouvoir que ſa paſſion vous donne ſur luy ? Oſeriez-vous refuſer de le voir, ſi vous ne ſaviez bien qu’il diſtingue vos rigueurs de l’incivilité ? Mais pourquoy faut-il que vous ayez des rigueurs pour luy ? D’une perſonne comme vous, Madame, tout eſt des faveurs hors l’indifférence.

— Je ne croyais pas, reprit madame de Clèves, quelque ſoupçon que