soient : conductricesde.. cete affalrec’ : et garde ’des bornes 5 c est-.i d}re tin on fasse senlant d’eii.’rder, Qand v0s A : mors-lmnt mal, pleurez sofip. ire. z, fieper ? vous ; ’ : je n’ay.que ’aii-e de vous re rare ; aites : seulement que ::ela he’ paroisse’ las ; quand’ ; elleg iront’bier,-q : elapgro[s ; .encor ’ moins, Sl vous.’nevoalez : que.lenvie s’en mesl, et qu’elle corrompe. ae sou venin.toute : vostre beatitude, cornroe vous voyez qu’il. est arriv& : 1’ mort gard.’--J’ay.er v6ns rendre un’ fort bhn’ office en-’vous dormant e6s avis’,. et ne comprns pas.la penske de rostre pere. II sqait bien que vous ne demeurerez pas ofilours dans "cette im : ance ; quattehd~il donc ? qte vo’stre pr.ore e ? pe. nen. ee’ vous re.ride sages ? II me semble qu rivanorm t meux que ce lust I’experience d’autruy, et qu’il vous permistla lecture I’une aussi bien nu’ l’autre : je vous promets de lny en parler — ’ Psich phidoit. la : cause de son’ p’ux, et peut’estre sans celanaaroitelle p’as inspir4ces sentlinens at/x. dux je. unes tille./Les sceurs.l’&0utoient cornroe une personn venae du Ciel : II se ’tint- en ’suite entre les tr0i.Bells’un consell’ secret touchant les affaires de_ nost Hroir/e…. ’ Elle ’de.mafida auxBergres cequ’Henr semb[oit de son aeanture, et quelle ’conduke elle avoit, tenir de 13.en avant.. Les ui-s. la ’prieent ’de’ trbuver bon cu elles,demeurassent dans le respect, et s abmnssent ae’dirieur sentimen : il ne leur appartenoit pas ; dirent-elles, de delibem’. sur. la ortune d’une Desse. Quel consell pom ? oit-on’ attendre de deux jeunes filles qui n’avoient ncore Veu que lenr trouteau ? _, ? stee Her0ne les pressa rant que f’aisne luy dit qu erie approuvoit’ ses’sofimissions et son reoentir ; qu’elle luy cbnseilloit decontlnuer, car cela depouvoit luy. nuire et pouvoit extremement luy profiter : qu’asseurmefit son"mary n’avoit pmnt discontintid d l’aym. er ; s,.reproches, et le. soin quail avoit eu d’empescner qu ene ne mourust, sa colere mesme, en es-
