estoieit yenties et n’atten" ’ , drent pas le renaerclement. Vlvez heureuses, leur dit Psich6 ; ]e vous souh,a. ite dema6azins qui ne desenaplissent janaais. Sic est un phisir de se tournaenter pour les biens du naonde, tournaentez-vous, et vivez heureuses. Oand Venus fur de retour et au’elle annerceut quatre monce. aux, son 6tonnernet ne fu[as peti son chagrin rut encor plus grand. On n’osoit a tocher d’elle ny seulenaent la re6arder. II n’v euPt p ny A. nao, urs ny Graces qui ne s’enfutssent. quoy fdit C? ere.e en elle-me.sme,.une Esclave me’reslster. ? ie Iv ..u. rn,r, ay ? tou_s es. Iou.rs une nouvelle naatiere d tr ? npner. E.t qui c.ramdra desormais Venus ? Qui aaorera. sa puissance. car pour Ia beautY, ie n’en parle lus- c’est P…. .P, siche qm en est D&esse. O desns., que vous,,ay-je fa ! t ? aunon s’est vange d’Io et ae eau, coup.o autres : II n’est fenanae qui ne se range. uytneree seule se void prlve de ce doux plaisir Si faut-il que j’en vienne bout : vous n’estes ps encore & la fin, Psich ; ’ rnon ills vous fait tort ; plus il s’opiniastre/t vous proteger, plus je rn’opiniastreray vous perdre. . , Cet. te resolution n’eut pas tout l’effet que Venus sestolt promis. A deux jours de l&, elle fit appeller Psich&, et, dissinaulant son dpit : Puisque ten ne vous est inapossible, luy dit-elle, vous irez bien au Royaurne de Proserpine. Et n’esperez pas m’&haper ? and vous serez hots d’icy ; en quelque lieu de la terre que vous soyez, je vous trouveray. Si vous voulez routelois ne point revenlr des enfers, j’en suis trscontente. Vous ferez naes cornplinaens la Reyne de ces lieux-lfi, et vous luy direz que je la prie de me donner une bote de son lard ; ]’en.a,y_ besom, cornme vous voyez : la naaladie de naon ills na a route change. Rapportez-naoy, sans tarder, ce aue l’on vous aura donn.,,et n’y touchez point Pscn partit tout fi l’heure. On ne la lalssa parlet fiqui que ce soit.. Elle alla trouver la Fke clue.son
