I 4 PS]CH]. les’enoux commencerent {uy fai{{{r, les bras {uy’tomberent ; e{{e essava routeslois fnufi{ement d’effacer cette noirceur avecl’nde.. .. — Aprds s’estre layde long-temps sans den avancer : O destlns. s ecr]a-t-eIle, me condamnez-vous i perdre aussi la beautd ? Cytherde, Cytherde, quelle sa{isfaction vous attend ? O..and ie me presenteray parmyvos esclaves, elles me rebuteront ; ie seray le des-honiieur de vostre Cour. Qg’ay-ie.fait qul. meriTcast une telle honte ? Ne vous’ sffftisoiMl. pas ciue i’eusse perdu roes parens, mon mary, les richesses, la libertd, sans perdre encore l’u.nique bien avec lequel les femmes se consolent de tous malheurs ? O,_goy ? ’he pouviez-vous attendre que les anndes vous venseassent ? C’est une chose si-.tost pas. sde que la beaute des mortelles’ : La melancholie serott ven0e au secours du temps. Mais i’ay tort de vous accuser : c’est moy seule qui suis i : ause de mort infortune ; c’est cette curiositd’incorrigible q.ui, non contente de m’avoir ostd les.bonnes graces ae vostre ills, m’oste aussl. le moyen de.les regagner. Helas ! ce sera ce ills le premier qui me regardera avec horreur et qui me fuira. le l’ay chercMpar tout l’Univers et i’apprehende de lettourer. O_.go.y ! mort mary me fuira ? mort mary ’qni me trouvo[t si-char- mante ? Non, non, Venus, vous n’aurez pas ce plai. sir ; et, puis.qu’il [n’est ddfendu d’avancer roes ioUrs, ]e me re{ireray dans quelque desert oa p. ersonne ne me verra ;}’acheveray roes destins parm3 ’ls-serpens et arm les 1ou s ’- il s’en trouvera- uel u’un d’assez .pty p. q q p]toyabfe pour me devorer. Dans ce’ dessein, elle court i une forest voisine, s’enfonce dans le plus profond, choisit pour principale retraite un antre effroyable. Li son occupat[on est de soupirer et de rlpandre des larmes’4' ses ibties s’appla tissent, ses yeux se cavent,’ ce n’estoit plus ’celld-de . qui Venus estoit devenua alouse : il y avoit au monde teIle mortelie qui I’auroit regardde sans : erivie. L’.Amour. cominen4oit alors/t. : sortir ; . et ; c6mme il
