Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/200

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Mais. ’st" : ass : de"Vau pO.uf toucher vos esprits ; Voye. z, et puisjugez ; je ne veux antre grace. Les raisoiis’db cette seconde n/e sem’blerent encor plus pressantes que celles’ de la.premiere ; sue tout ce tlu’elh dii de l’ihtention du Mage fi beauc.oup d’effet. [I s’leVa I/t degas un secret murmur. qm lay donna qnetqU esperanee’de la wctore,et le chagrin qu n ce moment-l/t tmoignerentles atttres. l&s fit une partie de4a joye, aussi bien que la.satlshction qui parut. sur le"./sag’des &outans. P.’alatiane, ne jugcant pus propog delaissr plus Iong-temps.dans le esprits une impresgioh gi’ favorable pour sa rivale,. sealeva eu~ i : Ore une f/>is. et de/a place oh elle estoit, elle iepresenta aux juges _que. i ? art de laPeintu : tvo.mpoit les yeux, celuy de I’Architecture Ieur-faisott, votr des merveilles bien plus tonnantes. qel pouvoit-on’appellet le : puissant’ eftor{ des machines qu’elle inventoit, relic ia pesanteur des’Colosses levez comme par.enchantement’ tel tous ces Ourrages’ hardis dot’l'imagination setrouve eftray,e, tels enfin ces areas de pierres’qui font croireque l’Égypte a est peuple de Geans, et qui ont puis les forces de. plusieurs millions d’homroes, aussi : bleu que les tresors d’une Iongue suite de Rois : ’Palatiane ayant ainsi repliqu, ces deu prirent leur place ; et incontinent aprks Hortesie, dont le tour estoit ven’u approcha des juges ; mais ave uu abord si doux, qu’auparavant qu’elle ouvrlt la..bouche, ils demeurerent plus d’& demy persuadez, et,Is eurent ’beaucoup ’de pelne t ne.se pus hisser corrompre aux ch ; armes mesme de s9n silence. Voicy les propros pa.roles.de sa harangue : J’i_nore l’art de bien parler. ’ ' Et n employray pour tout langase Q_ue ces’ momens qu’on voit couter Parm’1 des fleu’S Ltl luit un Soleil tbnt nouveau ; ’