Lz SONS oz. Va-Ux.’ L ar est.plns par, lelonr’ptus Les n nits sont,"doucs t’tra-hquilles. ; Et ces agreables sl]ours….. Chasseht’ le So}i} hliste : .des rilles Etla crainte’,'ki3stesse d’( ’. Mes appas sont.les AleionS’ Par qni l’ on voit cesser forag e Qge le souffle.des passions’ ' ’ " A fait n,Mtre dans’ un courage :?Seule, arreste ses’trah)p_orts i’ La raison fait de rains efforts Pour en calmer la violence ; Et si rien s’oppos leur cours, C’est la dotecent : de mon silence’ ; Plus qe la fore’du diseons : ’.. Mes donsone Occtip’l ieim’ain D’ un Emperenr’( t ) sn-r otts’ habile Et le plus sage des.humains,, : ".. Vine chez moy ehercher utiazile :: Charles(a), d’}m smblqble deqsein e yenant jetter da.n,s ’mort.se, in, : Fit voit qn’il estoJt plus qu’un hornroe L’un.d’ eux pour roes ombrageg verts Aquittt ’l'mpie de Rome’ 3….. L’antre iluy de l’Univers’. Ils estblent. la}. des vaiti’.p’o]ets De conuerir : ’ d’ autt : es Prbvince ; Q.ue ’*lS se firent roes snjet. g,,.’ -’ De mes,snjets’ je fais. des P.i-inas :: Tel ; ’tgalant le sort ’des Rois, Aristl[e)’roit aut(’efo’is ’ " : ’ 7" Dans le.s’ valons de’ Thessalie ; Et tel, de mets non achelyres ’Diocletian. ’(Note d La 1ntin’e. i Charles-Quint. (Note de La Fontnine.)
