Por & notr stor G Monsieur Courtois (,), si j’a 3 bonne metnoire Arec mort compagnon m’a lo’d dans es lieux ’ Q9ant, moy, ! ay bonne enwe De n’en bouger de ma tie ; 01l y ,oit sourent les yeux De l’adorable Syl,ie ( : ). IV(). omrne Sylvie honora de sa pr6sence les dernieres chansons d’un Cigne qui se mouroit et des avantures du Cigne. J’eusse continu roes plaintes, sl le son d’un lutkne les e/t interrompuls. Cornroe i’aime extrmement l’har. ce c Monsieur Courtois, itoit un domestiq/e de confiance de Fouquet, comme on I voit par le passage suivant d’un Mmoire que le surintenclant avoit ridig en privision de son emprisonnement : ha premiere chose doric qu’il faudroit tenter seroit que rna Mere, ma Femme, ceux de roes Freres qui seroient en liberti, le marq.uis de Charrost et mes autres patens proches, ilssent par pneres et sollicitations tout ce u"l ’ ' ’ q s pourrodent. Premieremerit pour me faire avmr un valet avec moy ; et ce valet, s’ils en avoient le choix, seroit Vattel ; si on ne pouvoit l’obtenir, on tenteroit pour LongChamps, sinon pour Courtois ou La ValiSe. >> (Copieflgurie de Pescrit trouv dans le cabinet aelll SeCret de la Rlaison de Monsie,,r Foucquet a saint blandg. Biblio’thlque impriale, Dpartement des Imprimis. Recueil Thoisy, Drolt public et civil, in-fol., t. XCIII, folio t4.) En marge on lit la note suNante : ( Ce La Valle est le valet de Chambre qui sen 1v. Foucquet h Vincennes., 2. Madame Fouquet. . Ce fragment’ et ceux qui suivent, jusqu’au neuvime exclusivemerit, n’ont tfi imprimis qu’en 729, dans les Ouvres diverses de RI. de La Fo : rmg t. , p. 2o-46. La Fontaine. III. t4
