Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/215

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LE SO’N,’GE DE-Vb/ux. ; Ill roit chanter apres lui. II’chanta toutefois, ’et cMnta vritablement assez.’b[en’ : niais/out ? e mi’,/ : ’.itoit en fine langue in’on n’entendoit-poirlt, 5[ fur.juga.de beaucoup infeiieur Lambert’i-et Sylvje, ne.jugcant pas propos de le voit mdurir3 se fur promner d’un Chacun la suivit, homis Lycldas ’,etmbi.’ Si bien qu’itant demeurez seul ; je le’ re’tiffs /ur le discours qu’il avoit quittt’, et lui. demandai s’JLtoit possible que.le Cigne efit itl autre chose qu’il n’toit, et s’il serolt encore autre chose dornavant. ; Pour te hire entendre tout ce mystere 3’ m4.rlpondit-/il : il. hut que je le prenne d’un peu p’lus.haut. : et’.} sl trois ou quatre foi il eommensa/de cett&sorte : …. .’.  : .,’ ; :,.. ", Ce qae. tu’vois d’atiimaax et.dhtimain.’, : ’ Trdque san c}sse’,' et diint aatre kh’ose’ ;' - ’ Toute ame passe’n’,diff&kn’tes.’,miihs. — Telle est la loi de ta : Mdb&rapsy’cbie,’….. Que le Sort tient eti’ 'sbs iNreg. hclose. : Car ici-baf. il aimk’.a. toui ; .&anger/ ’ Selon qu’il veut : nO- est ? i}s’ htberge).’ : L’ame, dhahYbien’ : oinal.’ass6rtie, ::: — D’un Rdi se vlt en. so) : tant- d’ un-.b’erger, Puis d’un berge ?, gan’t du Roi’some.. Je le sais d’Apollon, ,rai trsbr di-doctrint, Berger, Devin, Arctitec’tk et Chiinteur,. Et Docteur.’ : -.’ En MMecine ; .. ’…. " Tant6t portant le /Oar en diffireti] quartiei’s, Tant6t faisant des Vers e’l'hoiin’uf le. Svlve Je nem,. etonne. pa ? yant trop.de m.tters 3 S l a peme t gagnersa ve. ’ ll m’a donc dit ce matin 3 Venant voir notre malade : Ce pauvre Cigne ach&g’son : destin ; ’